Habitation, auto, moto : découvrez les garanties indispensables et les nouvelles options disponibles pour être bien assuré

Le choix de votre assurance habitation, auto et moto repose notamment sur la qualité des prestations de garanties. Selon vos besoins et votre budget, nombre de garanties (incluses ou optionnelles) sont disponibles auprès de nombreuses compagnies. Pour bien sélectionner vos contrats d’assurance, voici quelques conseils pratiques en vue de connaître les garanties incontournables et les nouvelles options sur le marché. Inspirées par les nouveaux modes de vie, elles peuvent vous apporter davantage de sérénité pour protéger vos biens et vos proches au quotidien.

Trois règles d’or pour bien choisir les garanties de vos contrats d’assurance

Règle 1 : connaître les garanties obligatoires

Certaines assurances sont obligatoires pour protéger votre vie quotidienne et celle de vos proches, à l’image de l’assurance santé, par exemple. Quel que soit votre assureur, l’État lui impose d’apporter des garanties minimales comprenant une protection de base afin de couvrir votre responsabilité civile pour votre habitation (en cas de dégâts des eaux ou de dommages liés à un incendie ou une explosion) ainsi que pour votre véhicule à moteur (auto, moto, scooter, quad, cyclomoteur). Cette garantie minimale couvre en premier lieu les dégâts occasionnés à autrui.  

Dans ce cadre, la plupart des compagnies d’assurances propose généralement trois formules standards : basique (correspondant aux impératifs légaux), intermédiaire et premium. Le premier niveau assure une protection afin d’être couvert contre les dommages les plus courants. Une assurance habitation, par exemple, peut proposer un socle commun de 14 garanties de base.

Règle 2 : se renseigner sur les garanties optionnelles

En plus des trois formules standards, les assureurs proposent des garanties optionnelles pour personnaliser votre contrat en fonction de vos besoins. Par exemple, si vous avez des animaux de compagnie, dans la plupart des cas, la responsabilité civile couvre les dommages causés à un tiers. Toutefois, si votre animal est classé dangereux, par exemple pour un chien de catégorie 1 et 2, si vous possédez un cheval ou un nouvel animal de compagnie (NAC) de type reptile, la responsabilité civile de votre contrat d’assurance habitation ne vous couvre pas. Il peut vous être demandé de souscrire une extension de garantie. Dans tous les cas, il est conseillé d’informer votre assureur de la présence d’un animal au sein de votre foyer. Dans tous les cas, il est conseillé d’informer votre assureur de la présence d’un animal au sein de votre foyer.

D’autres circonstances particulières peuvent vous amener à une couverture spécifique : si vous possédez des œuvres d’art (à condition d’être expertisées), si votre logement est ancien (voire classé), si vous possédez beaucoup d’électroménager ou une piscine… Vous vous exposez ainsi à des risques spécifiques méritant protection.

À savoir : vous pouvez choisir une formule, basique ou standard, renforcée avec des options additionnelles (par exemple la prise en charge du loyer ou du remboursement du prêt immobilier en cas de sinistre jusqu’à un an). Selon vos besoins particuliers, vous pouvez également sélectionner un contrat premium avec une couverture maximale, multirisques, pour le mobilier et l’immobilier. Il vous sera alors proposé une indemnisation à neuf des biens sans condition d’usure (ou de vétusté). Il est donc important de bien analyser vos priorités en matière d’assurance afin de sélectionner le type de contrat et les garanties optionnelles en conséquence.

Règle 3 : opter pour un contrat d’assurance évolutif et flexible

La dématérialisation s’avère un outil pratique pour faire évoluer votre contrat de manière plus rapide et plus souple. Comme 90% des Français possèdent désormais un smartphone et ont un accès Internet, de nombreuses compagnies d’assurances vous proposent des services dématérialisés, avec souscription en ligne, gestion du contrat via une application mobile et déclaration de sinistre par Internet. Toutefois, l’humain demeure une valeur essentielle, surtout lors de sinistres importants comme le feu ou une inondation qui peuvent vous faire perdre pied ! Aussi, assurez-vous de pouvoir joindre un conseiller par téléphone en direct en cas de sinistre aux heures ouvrables, sauf s’agit d’un réel besoin d’assistance urgente (24h/24 et 7j/7).

Dans un monde où tout va très vite, il est important de disposer d’un contrat flexible pouvant s’ajuster rapidement à l’évolution de votre vie. Certains contrats offrent des options de modification des garanties en cours de contrat, d’autres sont plus rigides. Si vous devez résilier votre contrat ne vous convenant plus, pas d’inquiétude. Depuis 2015, grâce à Loi Hamon, vous pouvez mettre fin à n’importe lequel de vos contrats d’assurance dès la première année de souscription révolue, sans préavis et sans justificatif.

À savoir : vos besoins ainsi que ceux de votre foyer peuvent évoluer avec le temps. Pensez à revoir les modalités de vos contrats tous les deux ou trois ans afin que celles-ci correspondent parfaitement à vos besoins du moment.

Le contrat d’assurance habitation : ce qu’il couvre au minimum et comment optimiser votre protection

La responsabilité civile dans le contrat d’assurance habitation

La garantie de responsabilité civile est comprise dans votre contrat d’assurance habitation. Elle couvre les dommages causés à toute personne subissant des préjudices résultant d’un dégât des eaux ou d’un incendie chez vous. Elle vous protège ainsi que ceux dont vous êtes responsable : votre famille et vos employés, vos animaux et vos biens mobiliers. Néanmoins, en se basant sur cet article du code des assurances, toutes les assurances ne considèrent pas d’être tenues de couvrir les dommages causés par vos enfants majeurs et ce, même s’ils vivent sous votre toit. S’ils ne vivent pas de manière permanente au domicile familial, s’ils travaillent (et, par conséquent, ne sont plus dépendants économiquement de vous et rattachés à votre foyer fiscal)… alors ils devront prendre une assurance habitation pour eux-mêmes. Vérifiez donc bien la couverture de toutes les personnes vivant sous votre toit pour votre contrat d’assurance habitation.

L’assurance habitation est obligatoire pour les locataires

Si vous êtes locataire, peu importe votre nationalité ou la durée de votre séjour en France, assurer votre domicile est une obligation. Une attestation vous est d’ailleurs réclamée dès la signature du bail. Elle doit entrer en vigueur depuis le jour de votre entrée dans les lieux et pendant toute la durée de votre séjour. Au strict minimum, cette assurance couvre votre responsabilité si des dommages sont occasionnés au logement loué en cas d’incendie, d’explosion ou de dégâts des eaux. Elle vous couvre généralement aussi pour ces sinistres survenus sur votre lieu de vacances (peu importe votre destination). Cependant, toutes les assurances ne couvrent pas la location saisonnière (inférieure à deux mois). Il est donc utile de vérifier ce point avant de partir. Si vous n’avez pas cette garantie, alors, en cas de dommage, vous devrez rembourser les dégâts de votre poche (les dommages occasionnés en plus des effets personnels du propriétaire).

Le saviez-vous : avec votre assurance habitation, vous pouvez être couvert hors de votre domicile pour des dégâts commis à autrui, même lors de vos vacances ! Par exemple, si un coup de vent arrache votre parasol sur la plage et vient blesser un vacancier, l’ensemble des dépenses liées à cet incident sera pris en charge par votre assureur.

Vous êtes propriétaire, comment vous assurer ?

Si vous êtes propriétaire, l’assurance habitation n’est obligatoire que dans une copropriété afin de couvrir les risques en cas d’incendie, d’explosion ou de dégâts des eaux. Dans tous les autres cas, elle est fortement recommandée. En effet, vous pouvez être mis en cause en cas de dommages accidentels causés aux logements voisins ou à des tiers (si un objet tombe de votre balcon dans la rue, blessant un passant, ou si un jour de tempête un arbre tombe dans la propriété voisine, détruisant un mur au passage).

Si vous êtes propriétaire bailleur, avec les autres copropriétaires s’il y en a, vous devez souscrire une assurance pour l’immeuble lui-même et les parties communes (les locataires étant seulement responsables de leurs biens personnels à l’intérieur de leur logement). Les propriétaires d’un immeuble peuvent tout à fait décider de ne pas avoir d’assurance, ils en ont le droit, mais si un balcon se décroche, une cave est inondée et fragilise la structure, des fissures apparaissent, ils ne seront pas assurés.

En outre, si la mairie place le bâtiment en arrêté de péril, alors les locataires suspendront automatiquement le paiement des loyers jusqu’à la levée du danger  ! L’assurance peut alors intervenir dans ces circonstances :

  • si l’arrêté de péril résulte d’un événement couvert par l’assurance habitation souscrit par le propriétaire, celui-ci peut faire une réclamation pour les pertes subies, y compris le paiement des loyers.
  • si l’arrêté de péril est lié à une négligence ou à une faute du propriétaire, il en va de sa responsabilité civile. Elle peut couvrir les coûts associés à la mise en arrêté de péril, éventuellement le paiement des loyers aux locataires.
  • une assurance pour loyers impayés peut couvrir les pertes de revenus locatifs en cas d’arrêté de péril, selon les termes spécifiques de la police.

De bonnes raisons pour les propriétaires de souscrire à une assurance… voire une assurance premium !

Bon à savoir : pour être mieux protégé, tous les assureurs proposent une formule Multirisques. Celle-ci intègre des garanties obligatoires et complémentaires facultatives liées à l’habitation : aux meubles, vêtements, électroménager, objets de valeur, piscine, etc. dont leurs montants doivent être déclarés à l’assurance et peuvent être plafonnés. En règle générale, une estimation précise de vos biens facilite une couverture adaptée. Veillez à bien conserver les factures de vos achats, elles vous seront demandées en cas de sinistre.

De nouveaux risques à assurer dans votre contrat d’habitation

Depuis l’irruption de la Covid sur la planète, les assureurs font face à de nouvelles habitudes de vie nécessitant de bien clarifier la responsabilité de chacun. Le télétravail fait partie de ces changements majeurs.

  • Si vous travaillez pour votre entreprise depuis votre domicile de manière régulière ou occasionnelle, avez-vous par exemple pensé à vérifier si le vol de votre matériel professionnel chez vous ou la perte de documents importants lors d’un incendie sont couverts par votre contrat d’assurance habitation ? En tant que télétravailleur salarié, votre employeur doit souscrire une assurance pour couvrir les risques liés au télétravail, notamment pour couvrir les accidents du travail. Cette assurance couvre les biens et matériels professionnels mis à votre disposition pour télétravailler.
  • Si vous utilisez vos biens personnels dans le cadre de votre activité professionnelle à votre domicile, ceux-ci ne sont pas couverts par l’assurance multirisques souscrite par l’employeur, mais par la vôtre ! Il s’avère donc important de vérifier les garanties de votre contrat d’assurance habitation et de prévenir votre assureur de votre état de télétravailleur. Par exemple vous tombez dans l’escalier votre ordinateur à la main. Le remboursement de vos dommages physiques est inclus dans votre contrat d’habitation. Si l’ordinateur fourni par votre entreprise se brise durant cet accident, l’assurance employeur joue. Si votre propre ordinateur subit les dégâts, c’est du ressort de votre assurance habitation. Pour éviter toute mauvaise surprise, renseignez-vous auprès de votre assureur des garanties proposées.
  • Si vous êtes salarié et exercez une activité d’autoentrepreneur à domicile, comme les travailleurs indépendants, vous devez vérifier avec votre assureur la couverture de votre activité professionnelle dans votre foyer. Si vous avez acquis votre matériel à titre professionnel (facture faisant foi), il est alors fortement recommandé de souscrire un contrat d’assurance dédié.

Autre évolution notable depuis 2020 : le fort développement des mobilités douces, vélo en tête, mais aussi trottinette (électrique ou non), gyropode, hoverboard… Or, ces engins, souvent chers à l’achat, difficiles à protéger sans investir dans un ou plusieurs antivols de grande qualité, faciles à revendre, sont devenus une cible de choix pour les voleurs. Par ailleurs, les dommages (pannes ou accidents) ont également explosé : les batteries peuvent rendre l’âme et le partage de la route n’est pas toujours facile à négocier, surtout dans les grandes villes…

Quelques contrats d’assurance multirisques habitation couvrent le vol avec effraction de votre moyen de transport dans votre logement (y compris cave et garage), mais cette garantie est encore loin d’être standardisée. Certains contrats assurent exclusivement le vol à domicile ou dans un local fermé, alors que d’autres incluent le vol dans les lieux publics (à condition d’équiper votre véhicule d’antivol) et dans les cas d’agression – attention, il s’agit souvent d’une extension de garantie, dont il est nécessaire de discuter avec votre conseiller.

À savoir : si vous utilisez des modes de mobilités douces (trottinette et vélo électriques, etc.), vous n’êtes pas systématiquement couvert par votre contrat d’assurance habitation. Cela rentre dans le cadre d’options à étudier avec votre conseiller.  

Le contrat d’assurance automobile : protégez-vous, protégez les autres, protégez votre véhicule

Une assurance obligatoire a minima

Le propriétaire d’un véhicule à moteur thermique, hybride ou électrique en circulation (roulant sur la voie publique ou en stationnement) doit l’assurer avec au minimum la garantie responsabilité civile servant à indemniser les victimes des dommages causés par ce véhicule. C’est l’assurance au tiers. En revanche, comme conducteur du véhicule ou personne reconnue responsable de l’accident, vous n’êtes pas couvert pour les dommages subis, physiques ou matériels. Pour cela, il est indispensable de souscrire un contrat d’assurance proposant ce service dans le package de base ou via une garantie complémentaire.

Dans le cas d’une personne qui utilise son véhicule personnel pour ses déplacements professionnels : il faut en informer son assureur qui ajoutera un avenant au contrat souscrit. Une surprime sera appliquée, financée ou compensée par l’employeur. Ce dernier peut aussi souscrire en direct un contrat d’assurance pour ses employés.

Des garanties optionnelles pour davantage de couvertures

Nombre d’options viennent compléter votre assurance automobile. Certains contrats incluent une assistance pour obtenir et analyser des devis après sinistre. Si vous ne connaissez rien à la mécanique, c’est un avantage non négligeable qui vous permettra de déjouer des réparations inutiles, des devis qui s’envolent et des factures abusives.

Des assureurs offrent également des heures de main-d’œuvre gratuites pour les réparations effectuées dans les garages agréés.

Autre type de service intéressant : certains prestataires autorisent aux moins de 29 ans de prendre un taxi gratuitement à deux reprises chaque année pour rentrer chez eux s’ils ne sont pas en capacité de conduire…

Une assistance en complément de votre contrat auto

Une assistance s’avère un réel bénéfice à ajouter à votre contrat d’assurance et apporte une aide logistique et matérielle en cas d’imprévus (pannes, crevaisons…). Selon le type d’assistance choisi et la franchise kilométrique, elle peut vous fournir 24h/24 et 7j/7 un dépannage sur place, le remorquage du véhicule jusqu’à un garage, parfois une solution de transport pour le conducteur et les passagers (rapatriement, frais médicaux à l’étranger…), même s’ils ne se déplacent pas avec le véhicule assuré ! Cela apporte de la sérénité à vos déplacements !

Le cas particulier des véhicules électriques

Les voitures électriques, encore minoritaires en France (1,5% environ du parc automobile à fin 2022), représentent déjà 11,5% des achats de véhicules neufs ! Cette progression va s’accélérer encore : en 2035, toutes les voitures neuves arrivant sur le marché ne pourront émettre de CO2 dans toute l’Union européenne. Cela ne change rien sur le principe : tout véhicule à moteur doit être assuré. Les voitures électriques peuvent parfois nécessiter des garanties spécifiques pour couvrir leur batterie et leur système de charge. Certaines compagnies accordent même des réductions sur le prix des contrats d’assurance pour les véhicules électriques.

Bon à savoir : en cas d’accident, le remboursement indemnitaire prend en compte la valeur réelle des dommages corporels subis (éventuellement les séquelles induites), de votre perte de revenu et des indemnités accordées par la Sécurité Sociale et d’autres organismes. Vous devez également veiller à la limite des garanties souscrites ainsi qu’au plafond d’indemnisation de votre contrat. Le remboursement forfaitaire, lui, se base sur un montant fixe permettant à l’assuré de déterminer à l’avance la somme perçue en cas de sinistre. Concrètement, votre baisse ou perte de revenu et la gravité des dommages corporels subis ne comptent pas. L’indemnisation forfaitaire se calcule indépendamment des évolutions de votre situation personnelle ou professionnelle. Aussi, le remboursement indemnitaire s’avère concrètement le plus avantageux, prenant en considération l’ensemble du préjudice jusqu’au plafond maximum de votre contrat.

Le contrat d’assurance moto : assurez-vous pour profiter de votre liberté

Comme les voitures, vous devez assurer votre moto ou scooter, à moteur thermique ou électrique.

Une responsabilité civile limitée aux dommages occasionnés à autrui

Le contrat d’assurance obligatoire couvre uniquement la responsabilité civile du motard. Ainsi, en cas d’accident, seuls les dommages matériels ou corporels occasionnés aux victimes sont indemnisés par l’assureur. Comme pour l’assurance auto, le passager est considéré comme un tiers, indépendant du conducteur. Il est couvert s’il porte un casque et des gants résistants, obligatoires depuis 2016.

Le motard, lui, n’est pas indemnisé pour les dommages subis : ni pour les dommages causés à sa moto, ni pour ses propres blessures et préjudices subis (incapacité temporaire ou permanente, préjudice esthétique ou sexuel…).  Or, à moto, au moindre incident, même bien équipé, vous pouvez facilement vous blesser. Vous protéger par un contrat d’assurance corporelle du conducteur, y compris en cas d’accident responsable, est plus que fortement préconisé.

Des garanties optionnelles spécifiques aux motos

D’autres garanties ou extensions de garanties sont également recommandées. Tous les motards vous le diront : l’assistance dépannage 0 km, prenant en charge les frais de dépannage et de remorquage en cas de panne ou d’accident, reste essentielle. Il en va de même pour la garantie du casque et des équipements. Il peut être également utile de vous assurer spécifiquement contre le vol. Si 2,5 voitures pour 1000 ont été volées en 2022 selon l’Observatoire des vols publié chaque année par Coyote, on a compté 43 vols de motos pour 1000 en 2022 ! Les vols varient beaucoup en fonction de la marque et du modèle, et des classements sont régulièrement établis de manière à vous aviser.

Enfin, certaines compagnies d’assurances proposent des services spécifiques pour les motards.  L’appli Liberty Riders, en particulier, vous permet d’être géolocalisé en cas de chute. Dans ce cas, la plateforme d’assistance vous appelle trois fois. Sans réponse, des secours sont envoyés. De même, il est possible de partager votre trajet avec vos proches en temps réel et de leur envoyer automatiquement un SMS au départ et à l’arrivée… si vous le souhaitez !

Le saviez-vous ? Les conflits entre assureur et assuré se concentrent généralement sur le montant des indemnités versées, notamment en raison de la vétusté calculée par l’assureur de vos biens : ma moto était peut-être vieille, mais elle était en très bon état, je veux pouvoir en racheter une neuve ! Or, selon les opérateurs, la valeur d’un bien baisse avec le temps. Si vous voulez éviter toute bagarre, optez pour la garantie « valeur à neuf » ou « valeur convenue » : peu importe l’âge de votre bien, vous connaissez à l’avance le montant du remboursement.

En conclusion

En matière d’assurance, le tarif compte bien sûr mais les services proposés également. Alors, n’hésitez pas à contacter votre conseiller pour faire le point sur les garanties de votre contrat, l’évolution de vos besoins, les avantages auxquels vous pourriez avoir droit (en fonction de votre âge, par exemple, le changement de composition de votre foyer, de votre vie professionnelle ou de l’excellence de votre conduite). Vous pouvez aussi en parler avec des proches qui ont déjà eu recours à une assurance, qu’ils en aient été satisfaits ou non : ils sauront vous alerter sur les points importants. Vous devrez également vous pencher sur le montant de la franchise à payer. Si celle-ci est trop élevée pour vos capacités de paiement, vous aurez du mal à l’activer. Il est donc parfois plus pertinent de souscrire un contrat un peu plus cher, mais avec une franchise plus basse.

Plus vous êtes informé, mieux vous êtes protégé et plus vous réduisez les désagréments consécutifs à un problème ou un accident !

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