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Les énergies vertes : le salut de la Chine
La Chine, un pollueur en quête de rédemption ?
La Chine est responsable de 30% des émissions de CO2 mondiales, soit 10 milliards de tonnes par an. Rien qu’en 2019, le gouvernement chinois a investi 87 milliards USD dans les énergies renouvelables sur les 282 milliards investis mondialement, soit 30% du budget planétaire.
La Chine vise la neutralité carbone pour 2060.
Découvrez le dossier spécial sur ce phénomène dans l’infographie ci-jointe.
EAU : Lancement de la Food Tech Valley à Dubaï
Dubaï a lancé un nouveau hub technologique dédié au secteur de l’agroalimentaire avec l’ambition qu’il devienne à la fois une « destination mondiale » pour les entrepreneurs du secteur et l’un des moteurs économiques de la région.
Sheikh Mohammed, vice-président et dirigeant de Dubaï, a dévoilé la première phase du projet avant-gardiste : la « Food Tech Valley ». Développée grâce à un partenariat entre le « ministère de la sécurité alimentaire et de l’eau » et Wasl Properties, cette une nouvelle « ville moderne et dynamique » servira de destination mondiale pour les start-ups et les experts de l’écosystème. Ce hub servira également de levier pour développer l’agriculture verticale mais aussi pour renforcer la sécurité alimentaire des Emirats-Arabes-Unis en multipliant la production agroalimentaire du pays par trois.
Pour Sheikh Mohammed, la Food Tech Valley fait partie d’une série de projets qui visent à soutenir les systèmes alimentaires, hydriques et agricoles des EAU, conformément à la stratégie nationale de sécurité alimentaire. L’alimentation et la médecine représentent des secteurs stratégiques qui aident à assurer un avenir prospère et durable pour la prochaine génération.
Il s’agira également d’une zone économique, ce qui est particulièrement important si l’on considère que la taille du marché AgTech devrait passer de 13,5 milliards de dollars à 22 milliards de dollars au cours des quatre prochaines années.
La Turquie continue d’attirer les investisseurs étrangers malgré la crise
Déjouant la plupart des pronostics, la croissance de l’économie turque a été particulièrement vigoureuse en 2020 en enregistrant 1,8% de croissance. La Turquie est ainsi le seul pays du G20, avec la Chine, et l’une des 26 économies au monde, sur 193 pays suivis par la Banque mondiale, à avoir affiché une croissance l’an passé.
Porté par des réalités économiques attractives, le marché turc séduit les entreprises étrangères qui y voient un pays au potentiel de développement élevé grâce à :
- Son emplacement géostratégique de premier plan qui lui permet d’être un hub régional entre l’Europe, l’Asie et le MENA
- La vitalité de sa démographie : une population de 83 millions d’habitants, jeune, dynamique, éduquée bénéficiant d’une main d’œuvre au coût relativement bas
- Son tissu industriel qui bénéficie à l’ensemble des filières liées à la transformation
Alors que les investisseurs s’interrogeaient dans leur stratégie à l’international au début de cette crise inédite, le choix de la Turquie se renforce davantage dans les plans d’investissement des sociétés étrangères dont les décisions d’implantation et les opérations de rachat sur le sol turc se sont fortement poursuivies en ce début d’année.
Retrouvez les principaux investissements et opérations de Fusacq réalisés par les entreprises étrangères en Turquie depuis janvier 2021 dans l’infographie ci-jointe.
