La websérie J’irai dormir chez moi propose de partager des virées avec un groupe de surfeurs bretons et de découvrir les meilleurs spots de la région. La quatrième saison, en ligne depuis mi-mars, suit les péripéties de la bande d’amis à l’occasion d’une édition un peu spéciale sur les côtes irlandaises.
De belles sessions de surfs, des plans uniques du littoral et de la campagne environnante, un froid vif, mais surtout de bons moments entre amis : chaque année depuis 2020, la websérie J’irai dormir chez moi suit un groupe de surfeurs bretons pendant un “surf trip” au plus proche de chez eux.
Parmi ces surfeurs professionnels qui partagent leur passion du sport et de la Bretagne, nous retrouvons Gaspard Larsonneur, Ian Fontaine, Titouan Canevet, Maelys Jouault, Théo Julitte ou encore les jeunes espoirs Gabriel Abiven et Louka Tirilly.
Partager des moments de vie
“Nous nous retrouvons souvent pour faire des sessions, mais c’est dur de réunir tout le monde”, témoigne Robin Aussenac. “Pour le tournage de la websérie, nous avons réussi à rassembler toute la bande de surfeurs dans un même bus, sur une même période. Nous logeons, nous nous déplaçons, nous vivons ensemble et nous partageons des moments autres que la session de surf. C’est cela que nous apprécions et que nous aimons partager avec le public. Je pense d’ailleurs que c’est ça qui fait le succès de la websérie. Le public est content de voir une bonne atmosphère autour de ces professionnels, faite de complicité et de bons moments”.
Dès la première saison, J’irai dormir chez moi a reçu de très bons retours. “Nous prenons énormément de plaisir à réaliser la websérie et nous sommes vraiment contents de voir que beaucoup de monde la regarde. D’année en année, le public continue de nous suivre et de nous découvrir”, se réjouit-il. “C’est important d’être soutenu, aussi bien par le grand public que par nos partenaires et la communauté bretonne. Nous les remercions tous et nous espérons pouvoir continuer à faire de nombreuses saisons !”.
Crédit photos : © Robin Aussenac