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Avant 55 ans : construire le patrimoine qui servira votre retraite
Préparez votre retraite grâce une stratégie adaptée et une fiscalité favorable.
Contacter un conseillerPréparer sa retraite, c’est avant tout anticiper. Et plus tôt vous commencez, plus cela s’avère efficace ! Banque Populaire vous offre un tour d’horizon des stratégies à mettre en place avant 55 ans.
Disponible depuis le 1er octobre 2019 pour remplacer progressivement les anciens dispositifs d’épargne retraite, le PER peut être souscrit à titre individuel ou dans le cadre de son entreprise. Ouvert à tous, son principe est simple : vous effectuez des versements volontaires durant votre période d’activité pour constituer l’épargne qui vous sera reversée, ainsi que les gains générés, au moment de votre retraite. À vous, dès lors, de choisir si vous préférez profiter d’un versement en capital (le fractionnement reste possible), sous forme de rente viagère ou d’une combinaison des deux.
Flexible, le PER met à votre disposition différents types de solutions pour faire fructifier votre capital (fonds en euros, supports en actions ou en immobilier…), y compris des fonds labellisés ISR (Investissement Socialement Responsable).
Si vous préférez en confier la gestion à votre assureur, notamment dans le cadre d’une épargne de longue durée, vous pouvez également opter pour la sécurisation progressive de votre PER. À l’approche de la retraite, l’épargne sera orientée vers des supports moins risqués pour sécuriser votre capital.
Notez que si l’épargne constituée sur votre PER est normalement bloquée jusqu’à votre retraite, des cas de déblocage anticipé sont toutefois prévus, notamment pour l’acquisition de votre résidence principale ou en cas d’accident de la vie(1).
Réputée placement préféré des Français, l’assurance vie ne manque pas d’avantages et s’intègre aisément dans de nombreuses stratégies patrimoniales (épargne progressive, placement d’un capital, transmission…).
Et la retraite ne fait pas exception ! La souplesse de l’assurance vie vous permet de mettre en place des versements programmés(2), de les suspendre, de les reprendre ou d’en adapter les montants, dans le but de constituer un capital à même de compléter vos revenus au moment de la retraite.
À vous de choisir la solution de gestion qui vous convient le mieux :
– gestion libre pour répartir vous-même votre investissement sur les supports financiers proposés ;
– gestion déléguée pour confier votre investissement à votre assureur.
Votre conseiller peut vous peut vous aider dans ce choix au regard de vos besoins et objectifs, de votre appétence au risque et de vos connaissances et de votre expérience en matière financière.
Une fois à la retraite, vous pourrez disposer de votre capital via des rachats(3) (programmés, partiels ou total), dans un cadre fiscal spécifique(4).
Notez qu’en cas de décès de l’assuré, les bénéficiaires qu’il aura lui-même désignés bénéficieront du versement d’un capital avec pas ou peu de droits à payer.
Outil d’investissement à long terme, le PEA est particulièrement plébiscité par les Français pour compléter leur future pension de retraite. Il permet d’investir sur des actions, principalement françaises et européennes, et de se constituer une rente viagère pour la retraite.
Depuis la loi PACTE de 2019, le PEA a encore gagné en souplesse et se révèle d’autant plus adaptable : les retraits sont désormais possibles dès cinq années de détention, exonérés d’imposition, et n’entrainent plus la clôture du compte.
Avec des versements programmés chaque mois, vous lissez le prix d’achat de vos actions sur le long terme : vous vous mettez ainsi à l’abri des fluctuations du marché.
Disponible depuis le 1er octobre 2019 pour remplacer progressivement les anciens dispositifs d’épargne retraite, le PER peut être souscrit à titre individuel ou dans le cadre de son entreprise. Ouvert à tous, son principe est simple : vous effectuez des versements volontaires durant votre période d’activité pour constituer l’épargne qui vous sera reversée, ainsi que les gains générés, au moment de votre retraite. À vous, dès lors, de choisir si vous préférez profiter d’un versement en capital (le fractionnement reste possible), sous forme de rente viagère ou d’une combinaison des deux.
Flexible, le PER met à votre disposition différents types de solutions pour faire fructifier votre capital (fonds en euros, supports en actions ou en immobilier…), y compris des fonds labellisés ISR (Investissement Socialement Responsable).
Si vous préférez en confier la gestion à votre assureur, notamment dans le cadre d’une épargne de longue durée, vous pouvez également opter pour la sécurisation progressive de votre PER. À l’approche de la retraite, l’épargne sera orientée vers des supports moins risqués pour sécuriser votre capital.
Notez que si l’épargne constituée sur votre PER est normalement bloquée jusqu’à votre retraite, des cas de déblocage anticipé sont toutefois prévus, notamment pour l’acquisition de votre résidence principale ou en cas d’accident de la vie(1).
Réputée placement préféré des Français, l’assurance vie ne manque pas d’avantages et s’intègre aisément dans de nombreuses stratégies patrimoniales (épargne progressive, placement d’un capital, transmission…).
Et la retraite ne fait pas exception ! La souplesse de l’assurance vie vous permet de mettre en place des versements programmés(2), de les suspendre, de les reprendre ou d’en adapter les montants, dans le but de constituer un capital à même de compléter vos revenus au moment de la retraite.
À vous de choisir la solution de gestion qui vous convient le mieux :
– gestion libre pour répartir vous-même votre investissement sur les supports financiers proposés ;
– gestion déléguée pour confier votre investissement à votre assureur.
Votre conseiller peut vous peut vous aider dans ce choix au regard de vos besoins et objectifs, de votre appétence au risque et de vos connaissances et de votre expérience en matière financière.
Une fois à la retraite, vous pourrez disposer de votre capital via des rachats(3) (programmés, partiels ou total), dans un cadre fiscal spécifique(4).
Notez qu’en cas de décès de l’assuré, les bénéficiaires qu’il aura lui-même désignés bénéficieront du versement d’un capital avec pas ou peu de droits à payer.
Outil d’investissement à long terme, le PEA est particulièrement plébiscité par les Français pour compléter leur future pension de retraite. Il permet d’investir sur des actions, principalement françaises et européennes, et de se constituer une rente viagère pour la retraite.
Depuis la loi PACTE de 2019, le PEA a encore gagné en souplesse et se révèle d’autant plus adaptable : les retraits sont désormais possibles dès cinq années de détention, exonérés d’imposition, et n’entrainent plus la clôture du compte.
Avec des versements programmés chaque mois, vous lissez le prix d’achat de vos actions sur le long terme : vous vous mettez ainsi à l’abri des fluctuations du marché.
Des solutions d’épargne… et des avantages fiscaux
Les placements financiers présentés précédemment s’intègrent parfaitement dans la stratégie de préparation de votre retraite. Mais ils se révèlent également efficaces pour réduire votre imposition :
- Les versements effectués sur votre PER sont déductibles de vos revenus imposables de la même année, dans la limite d’un plafond déterminé par la loi. Cette solution reste toutefois une option et vous pouvez y renoncer : c’est alors votre rente ou votre retrait en capital, au moment de la retraite, qui sera exonéré.
- Après huit années de détention, les retraits sur votre assurance vie seront moins fiscalisés : seuls les intérêts seront taxés à 7,5% ou 12,8% en fonction du montant des versements. L’application d’abattements annuels permet généralement d’éviter l’impôt, hors prélèvements sociaux.
- Les retraits effectués sur votre PEA sont exonérés d’impôt sur le revenu dès la cinquième année de détention écoulée.
L’acquisition d’une résidence principale est une étape importante à tout moment de la vie.
Mais elle constitue également un véritable placement en vue de la retraite : si votre bien est entièrement remboursé à l’heure de quitter la vie active, l’absence de loyer ou de traites représentera une économie importante sur vos dépenses.
Ici aussi, l’épargne se révèle primordiale : elle vous permettra de vous constituer un apport en vue de solliciter un crédit dont le montant sera défini selon sa durée et vos revenus.
L’investissement dans l’immobilier locatif consiste en l’acquisition d’un bien non pas pour l’occuper mais pour le proposer à la location. Si les prix de l’immobilier sont en constante augmentation depuis de nombreuses années, le recours au crédit autorise la réalisation de projets à moindre coût. Dans le neuf ou dans l’ancien, en nu ou en meublé, l’idée reste la même : rembourser vos mensualités de crédit principalement grâce aux loyers perçus.
Cette stratégie peut se révéler particulièrement pertinente avant 55 ans : vous pouvez calculer la durée de votre crédit en fonction de votre âge de départ à la retraite. En fixant l’échéance de votre prêt avant la fin de votre activité professionnelle, vos loyers deviendront des compléments de revenu lorsque vous serez retraité.
Par ailleurs, l’octroi d’un prêt immobilier est soumis à des conditions d’endettement : arriver à l’échéance de votre prêt avant la baisse de revenus provoquée par votre départ en retraite constituera souvent un élément important dans l’étude de votre demande de crédit.
Autre point à considérer : plus tôt elles sont souscrites, plus les assurances de prêt sont accessibles (coût plus faible, questionnaire de santé moins contraignant).
Une fois votre crédit remboursé, vous pouvez décider de profiter des loyers comme d’une rente ou revendre votre bien pour en tirer un capital.
Notez que plusieurs dispositifs légaux (Pinel, Denormandie, Malraux..) vous permettent, notamment si vous relevez d’une tranche marginale d’imposition élevée, de bénéficier d’importants avantages fiscaux(4).
Pour réussir votre investissement immobilier, prenez soin d’étudier attentivement les caractéristiques du bien que vous choisissez (prix, emplacement, travaux éventuels…) et son potentiel, à la location comme à la revente (plus-value).
Investir dans l’immobilier sans se soucier de la gestion d’un bien, c’est possible.
C’est en effet ce que vous pouvez faire en achetant des parts de Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI). La SCPI se charge d’acquérir et de gérer un patrimoine immobilier locatif et vous reverse des loyers à hauteur des parts que vous détenez. Vous profitez non seulement des compétences de gestion de votre SCPI mais également d’un risque réduit du fait de la multiplicité des biens administrés.
Vous pouvez également choisir de recourir à l’expertise d’un Organisme de Placement Collectif en Immobilier (OPCI) : il s’agit ici d’un fonds d’investissement avec une prédominance marquée pour l’immobilier.
En contrepartie d’une certaine prise de risque de perte en capital, les deux solutions « pierre papier » vous proposent ainsi un investissement beaucoup plus accessible financièrement qu’un achat immobilier (quelques centaines ou milliers d’euros suffisent).
L’acquisition d’une résidence principale est une étape importante à tout moment de la vie.
Mais elle constitue également un véritable placement en vue de la retraite : si votre bien est entièrement remboursé à l’heure de quitter la vie active, l’absence de loyer ou de traites représentera une économie importante sur vos dépenses.
Ici aussi, l’épargne se révèle primordiale : elle vous permettra de vous constituer un apport en vue de solliciter un crédit dont le montant sera défini selon sa durée et vos revenus.
L’investissement dans l’immobilier locatif consiste en l’acquisition d’un bien non pas pour l’occuper mais pour le proposer à la location. Si les prix de l’immobilier sont en constante augmentation depuis de nombreuses années, le recours au crédit autorise la réalisation de projets à moindre coût. Dans le neuf ou dans l’ancien, en nu ou en meublé, l’idée reste la même : rembourser vos mensualités de crédit principalement grâce aux loyers perçus.
Cette stratégie peut se révéler particulièrement pertinente avant 55 ans : vous pouvez calculer la durée de votre crédit en fonction de votre âge de départ à la retraite. En fixant l’échéance de votre prêt avant la fin de votre activité professionnelle, vos loyers deviendront des compléments de revenu lorsque vous serez retraité.
Par ailleurs, l’octroi d’un prêt immobilier est soumis à des conditions d’endettement : arriver à l’échéance de votre prêt avant la baisse de revenus provoquée par votre départ en retraite constituera souvent un élément important dans l’étude de votre demande de crédit.
Autre point à considérer : plus tôt elles sont souscrites, plus les assurances de prêt sont accessibles (coût plus faible, questionnaire de santé moins contraignant).
Une fois votre crédit remboursé, vous pouvez décider de profiter des loyers comme d’une rente ou revendre votre bien pour en tirer un capital.
Notez que plusieurs dispositifs légaux (Pinel, Denormandie, Malraux..) vous permettent, notamment si vous relevez d’une tranche marginale d’imposition élevée, de bénéficier d’importants avantages fiscaux(4).
Pour réussir votre investissement immobilier, prenez soin d’étudier attentivement les caractéristiques du bien que vous choisissez (prix, emplacement, travaux éventuels…) et son potentiel, à la location comme à la revente (plus-value).
Investir dans l’immobilier sans se soucier de la gestion d’un bien, c’est possible.
C’est en effet ce que vous pouvez faire en achetant des parts de Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI). La SCPI se charge d’acquérir et de gérer un patrimoine immobilier locatif et vous reverse des loyers à hauteur des parts que vous détenez. Vous profitez non seulement des compétences de gestion de votre SCPI mais également d’un risque réduit du fait de la multiplicité des biens administrés.
Vous pouvez également choisir de recourir à l’expertise d’un Organisme de Placement Collectif en Immobilier (OPCI) : il s’agit ici d’un fonds d’investissement avec une prédominance marquée pour l’immobilier.
En contrepartie d’une certaine prise de risque de perte en capital, les deux solutions « pierre papier » vous proposent ainsi un investissement beaucoup plus accessible financièrement qu’un achat immobilier (quelques centaines ou milliers d’euros suffisent).
Spécificités de l’assurance emprunteur avant 55 ans
Si l’assurance emprunteur n’est pas obligatoire, les établissements bancaires sont en droit de l’exiger pour accorder un crédit immobilier. L’obtention de cette assurance peut se révéler compliquée pour des raisons d’âge ou de santé.
Toutefois, dans le cadre de la convention Areas, la loi Lemoine de 2022 vient renforcer les droits des souscripteurs d’une assurance emprunteur.
Ainsi, pour les offres de prêt signées à partir du 1er juin 2022, l’assureur ne pourra plus exiger d’informations concernant la santé de l’emprunteur à deux conditions :
- si le montant cumulé de ses encours de crédit ne dépasse pas 200 000 euros ;
- si l’échéance de remboursement de son prêt intervient avant ses 60 ans.
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Investir sur un contrat d’assurance vie vous expose à un risque de perte en capital. Cette exposition varie en fonction des supports sélectionnés. Parlez-en à votre conseiller.
(1) Invalidité du titulaire, de ses enfants, de son époux ou épouse ou de son partenaire de Pacs, décès de l’époux ou de l’épouse ou du partenaire de Pacs, expiration des droits aux allocations chômage, surendettement, cessation d’activité non salariée à la suite d’un jugement de liquidation judiciaire, acquisition de la résidence principale (sauf pour les droits issus de versements obligatoires).
(2) Accessible à partir de 30 € par mois, selon les conditions spécifiques à votre contrat.
(3) Sous réserve de l’accord du bénéficiaire acceptant et/ou du créancier garanti le cas échéant. Sur le fonds en euros, des indemnités de rachat peuvent être appliquées selon les conditions et limites prévues dans les engagements contractuels.
(4) Selon les conditions et limites des dispositions fiscales en vigueur.
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