Gestion sous mandat : investir en toute sérénité dans un cadre responsable
En confiant la gestion de vos actifs financiers à des professionnels, vous bénéficiez d’un accompagnement éclairé, ainsi que d’une gestion active et évolutive dans le temps.
Pour gérer vos avoirs financiers, vous pouvez construire par vous-même votre portefeuille et réaliser les arbitrages. Mais ce pilotage demande du temps et de solides connaissances économiques et financières. Autre option : la gestion sous mandat ou déléguée. « Vous confiez à des professionnels des marchés financiers la gestion et le suivi de votre épargne qu’elle soit logée dans un compte-titres, un PEA, un contrat d’assurance vie ou de capitalisation, explique Jean-Jacques Friedman, Directeur de la Gestion Sous Mandat de VEGA Investment Managers. Vous avez accès à un univers d’investissement très diversifié en termes de classes d’actifs, de secteurs, de zones géographiques et de styles de gestion », permettant ainsi d’optimiser la performance de votre portefeuille suivant les conditions de marché et d’en réduire la volatilité.
Établir son profil et un scénario de marché
Avant d’initier toute opération, « il est indispensable de définir, avec l’aide de votre conseiller en gestion de patrimoine, votre profil d’investisseur, votre horizon de placement, votre degré d’aversion au risque, indique Joëlle Bohbot, Directrice du développement de VEGA Investment Managers. Et cela ne peut se faire sans tenir compte de votre projet patrimonial (financer les études de vos enfants, préparer votre retraite…), de votre expérience et de vos connaissances des solutions d’investissement, mais aussi de votre appétence pour les enjeux de durabilité ». L’ensemble de ces informations permettra alors de construire un mandat de gestion avec une allocation d’actifs diversifiée adaptée à votre profil, au plus près de vos attentes.
« Cette allocation s’appuie sur un scénario de marché, qui repose sur une analyse macroéconomique (taux de croissance, d’inflation, d’intérêt…) et microéconomique (valorisation des marchés), sur l’analyse des flux au sens du pilotage des Banques centrales, des poches de liquidité dans les fonds et du contexte géopolitique, détaille Jean-Jacques Friedman. Cela donne une orientation des marchés à court et moyen-terme et permet de sur ou sous-exposer le portefeuille à une classe d’actifs, un secteur ou un style de gestion, mais aussi à un type de valeurs et/ou de fonds ». Par exemple, en période de taux d’intérêt faibles, le style de gestion « croissance » sera privilégié au style de gestion « value » (décoté). Sur les titres vifs, les décisions d’arbitrages sont formalisées lors du comité d’allocation hebdomadaire qui rassemble tous les gérants des pôles d’expertises. Quant à la sélection des fonds, elle s’opère au sein des sociétés de gestion du groupe Natixis (dont VEGA IM) et pour partie en architecture ouverte.
À noter, que « VEGA IM ne perçoit aucune commission de rétrocession lorsqu’un fonds tiers est sélectionné dans un compte titres », précise Jean-Jacques Friedman.
Une gestion active et transparente
Raccourcissement des cycles économiques, volatilité des marchés, crise géopolitique… la difficulté est de maintenir une allocation en adéquation avec votre profil de risque. « Nos gérants font donc évoluer dans le temps les portefeuilles en fonction du contexte macroéconomique, financier et des opportunités identifiées, souligne Jean-Jacques Friedman. Ainsi, nous avons profité de la correction de l’automne dernier pour renforcer les actions et bénéficier du rallye de fin d’année ». Car l’objectif vise à faire fructifier votre épargne sans perdre de vue votre objectif initial et votre profil investisseur.
Consciente des enjeux environnementaux et sociaux actuels et à venir, et en réponse aux investisseurs toujours plus nombreux à vouloir donner du sens à leur épargne, VEGA IM a enrichi son offre de mandat de gestion d’une approche ISR (Investissement Socialement Responsable), tenant compte des critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance). « Sur les titres vifs, nous appliquons une politique d’exclusion et prenons en compte les analyses et notations extra-financières dans nos décisions, afin de privilégier les entreprises qui présentent un faible risque ESG ou des risques ESG maîtrisés. Notre objectif est d’éviter toute controverse, explique Jean-Jacques Friedman. Et quand nous sélectionnons un OPC, une analyse « ligne à ligne » du portefeuille est réalisée avec nos propres règles de calcul de durabilité pour proposer une offre de fonds harmonisée et rigoureuse ».
Régulièrement, les clients reçoivent un rapport de gestion qui rend compte de la composition du mandat, des arbitrages réalisés, de la performance potentielle et de la pertinence de la stratégie mise œuvre. Et si le client a une question, « son conseiller en gestion de patrimoine peut contacter en direct un gérant sous mandat qui lui apportera les éléments de réponse », rassure Joëlle Bohbot.
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